Bonjour tout le
monde!
Comme vous le
peut-être savez, je suis un grand admirateur de l’auteur René Reouven. J’ai
écrit des critiques admiratifs sur ses livres Souvenez-vous de Monte Cristo et Tobie or not Tobie. J’ai
aussi tout récemment lu Les passe-temps
de Sherlock Holmes, que j’ai adoré aussi. En bref, je trouve que M. Reouven
est un des meilleurs auteurs dans le domaine du roman policier.
Ce samedi, grâce
à l’aide de M. Roland Lacourbe, j’ai eu la chance de parler avec M. Reouven
lui-même. Pour moi, c’était un honneur incroyable. On a parlé une bonne heure
sur le roman policier, sur son œuvre, ses inspirations, etc. Ce n’est pas, tout
à fait, un interview traditionnel—c’est vrai que je demande plusieurs questions
mais c’est plutôt une conversation entre deux enthousiastes.
Quelques
clarifications : quand je mentionne plusieurs auteurs, je souvent utilise
la prononciation anglaise parce que c’est la seule prononciation que je
connais. J’espère que vous me pardonneriez mon accent affreux, et j’espère que
vous me pardonneriez une grande erreur de ma part : j’ai mentionné un
livre d’Anthony Boucher comme son premier, mais en vérité c’est son troisième
roman duquel je parle, The Case of the
Baker Street Irregulars (1940). Aussi, mon oreille français n’est pas le
meilleur, et quand on parlait du film de « L’Assassin habite au 21 »,
je pensais du film « Quai des Orfèvres » quand M. Reouven commençait
de parler d’un film différent. C’est le seul moment qui me laisse vraiment gêné.
Aussi, je vous
avertis qu’on mentionne deux histoires du cycle de Sherlock Holmes en détail – « La
tragédie des Addleton » et « La mort subite du cardinal Tosca »,
trouvés dans Les passe-temps de Sherlock
Holmes. Il y a des spoilers majeurs dans ces discussions, alors si vous n’avez
pas lu ces nouvelles, je vous dois avertir maintenant. Pour éviter ces spoilers, sautez la section du vidéo entre 4:30 et 10:00. On mentionne plusieurs
autres titres, mais sans spoilers majeurs.
Alors, pardonnez-moi
mes erreurs et j’espère que vous aimeriez cette conversation. À bientôt !
Aucun commentaire:
Publier un commentaire